Poème : la nuit

Lorsque le soleil se couche, une obscurité tendre et douce apparaît. Chaque personne peut la définir de différentes façons mais moi, j’ai voulu lui faire hommage en lui écrivant ce petit poème.

Juste après que le soleil ait disparu comme par magie, une obscurité tendre et douce surgit. Tendre dans sa façon d’apparaître ; douce par sa manière de dorloter les êtres.

Dans sa tendresse, je reçois un air frais. Dans sa douceur, elle me transporte dans un monde où tout semble être parfait et vrai. J’aimerais tellement apprendre à la connaître. Ô quelle obscurité douce et magnifique… Elle vient me rendre visite chaque soir, et sous ses pieds, j’adore m’asseoir.

Sa beauté grandiose me fait rêver. Lorsque je pense à ses yeux brillants, je me sens émerveillé. J’ai l’impression qu’elle me regarde de partout. Quoi que je fasse, elle me sourit de toute sa denture lunaire. Elle est vraiment agréable à contempler de plus prêt. Seulement, lorsqu’elle est là, c’est juste pour un temps. Je voudrais tellement mieux la connaître, mais bon, je sais que je doit profiter du temps que je passe avec elle.

Certaine personne t’ont mystifiée, c’est vrai. D’autres encore ne comprennent plus combien ta présence à nos côtés est importante. Mais, ce n’est pas grave ne t’en fait pas. Il y a encore parmi nous des gens qui respectent ce que tu es. C’est pourquoi j’aimerais vraiment que tu saches que tu n’as pas à t’en faire. Moi, je t’aime. Oui, je t’aime telle que tu es. Même si les autres disent que c’est toi qui nous amène les moustiques ; moi je t’aime quand même.

Ne t’en va pas, je t’en prie, tu me manques, ma chérie. Maintenant que j’y pense, s’il faut que je te donne un nom ; je t’appellerai La Nuit ; ma chérie ! Lorsque tu seras là prochainement, je dirais : « voici la nuit, dans toute son obscurité, avec son air frais. » Je veux que ton obscurité et ton air me comble de plaisir. Fais-moi rêver ; j’en ai envie ma chérie !